La vasque de la résurgence avant les travaux de désobstruction. L'eau bouillonne au travers un remplissage de sable qui colmate tout l'orifice.
La taille des blocs à évacuer, et leur encastrement dans le cône d'éboulis et de sable de la vasque, rendent difficile l'opération et conduiront à l'arrêt des travaux.
... et de permettre d'accéder au travers de l'éboulis jusqu'à une profondeur de 6m où la galerie continue en laminoir.
La poursuite des explorations dans de bonnes conditions nécessite cependant de purger cet éboulis, qui rendrait délicat tous travaux au delà.
Les premières plongées sont consacrées à débiter le principal bloc barrant l'entrée, et qui avait résisté à toutes les tentatives de tractions même au tirefort depuis l'extérieur, menées jusqu'à arrachage des ancrages sur le bloc.
Il reste encore à déblayer de nombreux blocs qui ont glissé dans l'orifice, ou qui menacent depuis les flancs de reboucher l'accès et de mettre en danger les spéléologue dans leurs explorations.
Nous comptons aussi sur l'action des crues qui, n'étant plus freinées par l'éboulis, devrait être plus efficaces à nettoyer la vasque.
... à suivre
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Les spéléologues du Groupe Spéléo Corrèze entreprennent en 2003 et 2004 d'évacuer le sable et d'extraire les blocs rocheux pour accéder au conduit masqué par le colmatage.
Cependant, ces efforts de dégagement de l'entrée vont permettre aux crues de continuer à désensabler la vasque ...
C'est durant l'été 2007 que la désobstruction est reprise par les membres du Spéléo Club de Tulle et du Groupe Spéléo Corrèze, avec pour ambition de dégager l'ensemble des blocs encombrant l'entrée.
Au fil des plongées l'aspect de la résurgence évolue et l'entrée se dessine au fond de la vasque.
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